La voie du guérisseur

Cet article est inspiré par un passage du roman de Pierre Bottero, Ellana, L’envol. Ce livre destiné à la Jeunesse est en fait un puits de sagesse et d’inspiration. (Je le conseille d’ailleurs à tous les jeunes entre 13 et 99 ans). C’est l’histoire d’une jeune femme extraordinaire, avec des aptitudes exceptionnelles pour suivre la voie des marchombres.
Le passage suivant m’a inspiré cette réflexion concernant la voie des guérisseurs. Je vous copierai plus bas l’extrait original.

La condition de guérisseur prend naissance bien au-delà des limites de son corps. Mais nous le transcendons en suivant cette voie. Si notre corps est enchaîné, blessé, affaibli, brisé même, nous n’en demeurons pas moins libre. Nous sommes guérisseurs.

Cette “théorie” s’applique à toute nature d’âme. Quand on reconnecte à sa nature d’âme, et qu’on se reconnaît tel QUI nous sommes, quand on incarne notre nature sans plus douter, toutes nos cellules sont alors connectées à leur mission de rayonner notre lumière de guérison. Quoique l’on fasse, quoique l’on dise et quoique l’on pense, nous sommes QUI nous sommes. Et d’un point de vue quantique (énergétique), cela a des répercussions inimaginables.
Le défi pour les guérisseurs est d’arriver à cet état de confiance et d’incarnation. Ainsi, il entre dans sa puissance et peut oeuvrer au plus près de son coeur, aligné avec son âme, son coeur, son esprit.

Ici, l’extrait du roman:
Le corps était-il à ce point important qu’il définissait à lui seul la réalité du mot marchombre? (…) (Pour les guérisseurs, et toute autre personne, il ne s’agit pas seulement du corps. Il s’agit plutôt d’un ensemble d’éléments extérieurs à soi, selon moi).
Elle était marchombre.
Libre ou enchaînée.
Valide ou blessée.
Jeune ou vieille.
Elle était marchombre.
Mais le corps? (…)
Son corps était une partie d’elle. Elle lui devait le respect. C’était par lui qu’elle appréhendait le monde mais il n’était qu’une partie d’elle. Sa condition de marchombre prenait naissance bien au-delà des limites de son corps. Elle le transcendait, et si son corps était enchaîné, blessé, affaibli, brisé même, elle n’en demeurait pas moins libre. Elle était marchombre.

Autre citation issue du même volume:

Le doute est une force. Une vraie et belle force. Veille simplement qu’elle te pousse toujours en avant.

… Parce qu’en tant qu’Être humain, nous doutons souvent de QUI nous sommes.

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